Tuer pour le plaisir de la vengeance

Maëté va vers le château en affichant un visage sans expression distingue. Elle marche comme une guerrière, sans broncher. Il paraitrait que ce château est habité de fantômes mais Maëté n'a pas peur. Elle en a vu des choses terribles. Elle entre dans le château. Il est immence avec des murs délabré et des tableau longeant les parrois. Maëté sourit d'un sourire sadique, comme un démon. Ses dents pointus se laisse apparaitre. En ayant battu l'humain Crurk, elle était devenue ce qu'elle haïssait le plus. Elle sort son sabre et le laisse trainer au sol. Elle n'en aura surement pas besoin mais elle aime le sortir pour le plaisir de faire peur. Ses yeux rouges parcourt le long de la pièce. Son sourire s'efface et laisse apparaitre un visage scrupter par la haine envers des créatures ignoble dôté d'un coeur de pierres : les hommes. Elle dit d'une voix roque résonnant dans l'ensemble du château

"Il est l'heure"

Elle se dirige vers un des tableaux représentant un homme assis sur un fauteuil. Elle prend le tableaux de ses mains blanches avec de longs ongles puis elle le lance en l'air. Elle ferme les yeux puis lance son sabre en l'air, très sûr d'elle. le sabre transpèrce le tableau en son centre puis il retombe viollamment au sol. Elle ouvre les yeix, récupère son sabre puis sort du château dans le silence. Elle n'a pas tuer en versant du sang mais elle a tuer un tableau représentant un homme

Miss Butterfly était énerver, remonter, dégoûter et bien d’autre adjectif encore. Elle n’y était pas arriver… Ou presque, elle avait trouvée la dernière barrière, la seule qui se dressait encore devant elle et sa sœur : Le château. Restant immobile devant elle pénétra enfin le château quand un bruit retentit. Elle avança rapidement pour voir la tête de la personne. Une jeune fille, avec un sabre qui avait transpercer un magnifique tableau des ancêtres de ce château. Souriant elle lança, ironique :

« Eh bien ! Que de violence dans ce monde de brute. Ala, tu pourrais passer tes nerfs autre que sur le pauvre tableau d’une illustre personne ayant créé l’un des plus grand génocide de l’histoire. »

Elle soupira, franchement, ses jeune, plus aucun respect des autre, je vous jure. La dernière fois un petit garçon l’avait insulter sur sa manière d’habiller, ou ne l’a plus jamais revu d’ailleurs. Un peu de sang, une longue épée ne ressemblant à aucune autre… Et une tête tranche, rapidement, nettement, ne faisant couler le sang plus que nécessaire. Un grand sourire s’afficha, regardant toujours la nouvelle feme devant elle.

» une titie fic pour le plaisir d'ecrire
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