I. Le Bateleur [Fiche non finie]

Nom : Inconnu
Prenom : inconnu
Surnom : Miss Butterfly, Lady Tenebrae, Death Mistress…

Age : 36ans
Date de naissance : 16 novembre, minuit, nuit de nouvelle lune.
Date de mort : 22 juin. 23h30, sur un chemin de fer, écraser par le train.
Date de "ressurection" : 31 septembre, a l'aube.

Nationalité : Japonaise
Origine : cino-japonaise

Famille : Conté la famille de Miss Butterfly est une tache bien lourde. Car l’ont ne sait rien de cela. Sa mère était une américaine, son père un chinois et elle naquit au japon. Pourtant, elle ne connaît rien de tout ça, elle n’en a plus le souvenir, ou du moins, elle ne veux plus revoir ces scènes… Sa seule fut une poupée du nom d’Aria et la petite Yachiru, une petite fille retrouver lors d’un de ses nombreux massacre…
Histoire :
Imaginer un puissant hôpital de Tokyo. Qui n’attend que plus de blessés pour se faire de l’argent. Où, dans les salles d’opération, les médecins couchent avec les secrétaires. Les internes se terrorisent à opérer de l’appendice. Une femme, elle accroche comme elle peut les barreaux de fer autour de son lit. Malgré la douleur de procréer, cela ne l’empêche en rien de jeter des regards mauvais à l’homme derrière la porte. Ce dernier se crispe et attend…

C’est dans ce monde stupide qu’une petite fille naquit. Jamais déclarer à l’état, elle restât sans nom. Elle fut de suite abandonner par son père, seule sa mère restât derrière elle. La rassurant. « Ne t’inquiète pas, maman t’aimera deux fois plus, tu n’a pas besoins de papa… Maman est là. Tu es juste différente... » Mais l’enfant savait que c’était faux. Elle mentait, si elle l’aimait, elle l’aurait au moins nommé. Et ça, malgré son jeune age, elle le savait.

Un jour de forte pluie, sa mère ne rentra pas à la maison. L’enfant n’avait que dix ans, mais c’était suffisant pour qu’il comprenne qu’il avait était abandonné. Après tout, il n’avait pas de nom, pas de père, pourquoi sa mère voudrait de lui, alors qu’il était si différent qu’il avait des ailes dans le dos, que d’un instant a l’autre il n’était plus le même… Alors que toute ces question se remuait dans la tête, une sonnerie… la sonnette du petit appartement de « Maman ». La jeune fille ouvre. Deux personne, tremper jusqu’au os, sous leur grand anorak noir avec un insigne la regarde, béa. Ils sourient, gentiment, compatissant, ils demande.
« Bonjour jeune fille ! Tes parents sont là ? » La réponse les surprends plus qu’autre chose. Un air grave s’arque sur ses sourcils, ses yeux se font haineux. La petite fille change. Elle répond sur une voix de démence et de colère.
« Je n’ai pas de parents ! » Les policiers, stupéfait, se taisent un moment avant de chuchoter entre eux :
« Ca doit être elle… »
« La fillette sans nom.. On la conduis chez sa mère… »
« Ouais.. »
« Fillette, veux-tu bien nous suivre, on va te conduire chez ta mère ! »
La petite fille regarda les jeune policier, et acquiesce d’un signe de tête. Plus aucune trace de haine sur son visage…

Après deux heure de route, l’enfant sans nom est mener vers un bâtiment grisé par la pluie. Il y a des inscription en haut, des inscription qu’elle n’arrive pas à lire, parce que sa mère ne lui a jamais permis d’aller en cours… Elle avance, lymphatique sous la pluie, guidée par les agent en civil. Une fois rentrer elle remarque que l’intérieur est entièrement blanc. Et aussitôt, elle cours vers un direction, sans que personne ne lui dise quoique ce soit. Elle s’arrête devant une vitre, et le spectacle devant lui fait monter les larmes. C’était la première fois que quelque chose se passait. Sa mère est dans un lit, assise, elle parle… Et la fillette entend tout.
« Aria, ne t’inquiète pas. Je t’abandonnerai pas. Tu es ma réussite, mon espoir, tu vaux mieux que ta sœur. Ta sœur n’est rien, elle n’a pas de nom, ta sœur est une poupée papillon incapable. Mais te voilà ma fille Aria, te voilà ma création, je t’aime ma fille. Maman en t’abandonnera pas... »
La petite frappe contre la vitre. Les torrents d’eau salé n’arrête pas de couler le long de ses joues…

Elle court. Elle ne restera pas un instant de plus ici, c’est trop cruel, jamais elle n’aurais du faire ça. Jamais, elle n’aurais du naître. Jamais elle n’aurait dut être là. Jamais elle n’aurai dut avoir ces choses dans son dos. Jamais. Elle cours, sans s’arrêter. Sans remarquer où elle est. Sans remarquer ce qui arrive. Elle cours toujours, soudain un bruit la frappe. Des lumières l’aveugle. Soudain elle meure. Le sang gicle. Le train s’arrête en catastrophe. Le chauffeur traumatisé, les passagers étonnés et secoués, et cette petite brune sur la voix.
Déchiquetée. Ecrasée. Gisante. Sanglante. Tout simplement Morte.

La fille sans nom ouvre les yeux. Où est-elle. Du sang ? Une barrière jaune. Toute ses lumières. Un train ? Du sang. Du sang. Du sang, toujours du sang. D’abord éblouis et étonner, elle tourne la tête, ses yeux s’arrête. Un cris, un long cri strident et agonisant. Un cri aiguë et perçant. Un cri d’une fillette morte de peur. Devant elle, git un corps identique au sien. Non, devant elle gît son corps. Les même cheveux noir comme la nuit, la même petite robe une pièce blanc au bordure bleu azur. La même bague, et les même ailes… ces monstrueuse ailes de papillon.

Pourtant, personne ne semble remarquer son cri. La petite s’enfuit. Traumatisée. Détruite. A vie. A jamais. Son but a présent, trouver Aria. Qui est Aria ? Une poupée. Une simple poupée de chiffon, au cheveux de laine noire. Pourtant cette poupée, a pris sa mère. Cette poupée lui a pris ses espoirs. Elle avait un nom. Un nom qui aurait put être celui de la petite fille. Mais elle en avait hériter. Cette Aria, l’enfant se jura, que même morte, elle la tuerai. Car elle le savait, on était pas seule dans ce monde, les fantômes existait bel et bien. Et Aria en était un, elle l’avait vu… Errant dans les sombre abysse d’une forêt japonaise, la petite morte s’en alla. Criant vengeance…

Près de six ans après. La petite fille a grandi, est devenue une adolescente… Même fantôme, et là, tout change pour elle… Un jeune homme, grand, imposant. Au long cheveux blanc, vêtu d’un kimono noir s’approche d’elle. Il la regarde, il sourit, compatissant.
« Chère âme. Ce monde t’enchaîne ? Viens, je t’emmène au paradis… » La personne en face de lui le regarde avec une expression haineuse, elle est si décharnée, si misérable… L’adolescente ne peut que sentir une pression sur sa tête, qu’elle s’envole… Pour pire cauchemar que le monde humain.

Devant elle se dresse un grand village. Empli d’adulte. A peine pose-t-elle le pied par terre qu’elle se fait bousculer et tombe a terre. Elle regarde autour d’elle. Les gens ont l’air si pauvre, ils se moquent de tout, du monde. Ils se moquent de ce qui se passe autour d’eux. L’adolescente l’a compris ça aussi, sur terre. Elle soupir et se relève comme elle peut. Elle déambule dans les ruez. La réalité l’a trop de fois frappée. Ici ce n’est pas le paradis… Non, c’est un royaume du vice. Elle l’a bien compris, il va falloir survivre dans cette jungle sans nom. Encore.

L’adolescente se retrouve dans la forêt. Proche du monde du vice. Elle est adosser contre un arbre, du sang sur ses vêtements, des centaines de cadavres autour d’elle. Une épée bien incruster sur le sol, devant elle. Cela doit faire maintenant deux ans qu’elle ici. Elle appris a se défendre, a combattre, elle appris a tuer. Elle a prit goût de tuer. Un homme s’allonge devant elle, tombe, a demi-mort, il la regarde, un dernier regard avant de mourir, voir son assassin. Il parle.
« Tu es un démon ! »
« Peut-être… »
« Sale insecte ! Sale papillon ! »
« Peut-être… »
L’adolescente reste impassible, les yeux baissés. Elle regarde le carnage qu’elle a créée. C’est de leur faute, c’est de sa faute. Soudain, des rire. Un rire. Enfantin. Jovial. Un bébé au cheveux rose arrive devant elle, il joue avec les cadavre, il s’arrête devant elle. L’adolescente le regarde, une jolie petite fille d’a peine une an. Elle joue avec l’épée.
« D’où viens-tu, gamine ?… c’est une épée » La petite continue de regarder l’objet avec insistance « Tu n’a pas peur ? Elle sert a tuer des gens » La petite pose la main sur l’épée. « Le démon » se crispe en voyant le bébé rire avec le sang sur les doigts. « Petite, quel est ton nom ? Tu n’en a pas ? Moi non plus… » Attendri, la jeune femme la prend sous son aile…

La femme sans nom en a un. Un surnom. Bien choisi, « Miss Butterfly » cri les enfants avec terreur. Une tueuse en série… Accompagner d’une miniature de monstre, nommé Yachiru. La femme sans nom a tout appris, la femme sans nom a une épée, la femme sans nom sait se battre et tuer sans pitié. La femme sans nom est le démon Butterfly. C’est un démon… Un vrai, renvoyé sur terre maintenant, un démon qui mange l’âme humaine, un démon a trois âme. Une âme de shinigami. Une âme de démon. Une âme humaine… Un démon libérer.

Lorsqu’elle fut renvoyer du monde du vice. Elle tombe sur une terre. Golden-city qu’elle s’appelle. La terre. Sa vielle amie. Où elle espère enfin se venger. Elle, trente-six ans, en apparence. Et la le monde subit une terreur. Des aboiement de chien. Une ombre. Une épée. Du sang. Un enfant. Une famille. Egorgée vive. Ce n’est qu’après quelque meurtre que Miss Butterfly s’en prend a la famille qu’il ne fallait pas… Alors que dans son tourment, elle arrive sur des ruines, elle croisent une jeune femme. Qui deviendra sa dernière victime en date. Elle écoute. Frappe. Emprisonne. Viole. Tue.

Mais cela la traîne dans autre chose. Le monde n’est que vengeance, elle même en veux une. Et cette jeune fille a un père, qui se donne a cœur joie de vouloir la tuer… Mai sil n’y arrive pas. Miss Butetrfly n’abdique pas. Pourtant, dans l’ombre, elle attend a ce qu’on lui mène Aria, a ce qu’un jour une personne puisse la tuer. Pour de bon. Mais pas maintenant. D’abord, elle doit voir garder Yachiru comme sa source de vie. Elle doit être forte. Puissante. Elle doit tuer Aria. Tuer cette poupée. Elle doit retrouver sa mère. Retrouver un nom. Être une personne. Mais pas encore. D’abord elle doit échapper a ces shinigami qui veulent la tuer. A L’instinct de vengeance d’un père sans sa fille. A la solitude

Pouvoir(s) : Selon les contrées , certains vous diront qu'elle maîtrise le temps , ou les éléments , ou les ombres , ou la gravité elle même ... Mais nul de ceux qui ont vu l'étendu de ses pouvoirs n'est encore là pour témoigner.
Apparence physique : Ses yeux quoique très noirs inspirent de tendres songes, bien qu’il semble s’en écouler des ténèbres. La peau hyaline et lactescente est le reflet du temps disparu et de la désolation. Sa longue chevelure capte la lumière du soir, sombre aux reflets vermillon, elle encense la clameur de lui appartenir un jour. Sa main parfaite, poudrée d’or très pâle, se lève parfois jusqu’à sa bouche. Avec un sourire de ses lèvres ambrées, elle ravit les espoirs des humains et sème la douleur en leur âme. Son être famélique leurre les hommes qui ne voient que faiblesse et douceur. Son regard se fait caressant, ses gestes deviennent tremblants et d’aucun imagine sa fragilité. Les robes de deuil qu’elle porte, font d’elle à sa manière secrète, une grâce plus qu’une beauté. Constamment avec un éventail. En agitant ce dernier, les humeurs et le caractère de la Dame se change… Ce dernier, masque les plus mauvaises expressions comme les plus tendres sourire, seriez-vous capable de voir une vraie expression dans ce visage mi-figue mi-raisin ?
Caractère : Ouïr les oraisons de la Dame funèbre, épouse de l’infernal. Elle s’unit au silence et reste froide comme la mort. Parfois ses yeux se font rieurs, en ce cas, la lune est devenue sa mère. Elle observe d’une expression sincère et naïve, l’instant d’après, elle est farouche et fourbe. Deux Dames, ne serait-ce pas plus simple de la décrire ainsi ? Folle et posée. Jouant sur sa déviance et sur son calme. C’est ainsi qu’elle est. Elle agite un éventail, le passe devant son visage et devient une autre. Manipulatrice, certes… Rosière, plus singulièrement… Il y a dans ses pensées de prodigieuses spéculations, qui s’avèrent édifiantes. Pourtant gare à ne point se méprendre, car les méandres de son âme réservent maints secrets.
Pour elle, les pensées ne sont qu’hérésie de croyance du contrôle de soi. Chercher à trouver la lucidité dans cet esprit joueur peut nuire à une santé mentale, même des plus puissantes.
Jouer avec le comportement de la première Lady reviendrait à jouer avec le synonyme d’un papillon éphémère. Son visage exprimant toute les moues possibles se charge de lui-même à faire en sorte que la personne d’en face ne comprenne jamais ses sentiments, s’il est prouvé qu’elle en ait, déjà. Chercher la lueur de pitié dans ses yeux revient à chercher une aiguille dans une botte de foin, même ça c’est une chose encore trouvable, pas comme l’esprit de la doyenne des humaines. Moitié consternée moitié amusée par le comportement humain, elle se lasse des notions de bien et de mal. Ce ne sont que préjugés et lois qui le décident, si toute une population tue une autre, alors tuer ne sera plus un crime, de même si toute une moitié de planète arrête de croire en dieu, alors être croyant se révèle mal. Tout dépends les points de vue des dirigeants.
Elle ne se fait méchante qu’envers enfant et femme. Jamais vous ne vous doutez de ce qui contient cet esprit de terrible haine, tantôt haineuse et détestable, représentant tout les vice humain, jamais vous ne rechaperait à cette monstrueuse femme…
On hésite à parler de personnalité stable chez Butterfly, tant celle-là est excentrique..

Talents : L’escrime, le sabre, la magie, tuer, se faire discrète, la musique
Aime : Le sang, Yachiru, tuer, la nuit, elle-même, tromper les gens.
Signe particulier : Son dos est fendu en deux part de grandes ailes de papillon noires et rouges, tout son bras gauche est maculer de marque dont seule miss connais la signification

Animaux :
Osmos, un faucon de couleur nuit. Ses papillon, messager de mort et plus…

Il reste plus qu'a attendre les 3 pages de plus de l'histoire non? lol

Moi j'ai rien à dire a part que c'est trop magnifiquement (^^' je sais même pas si ça existe lol) bien fait

Oh mais n'est-ce pas un cher ami que voila ! (sourire colgate mad ein butty)

comment ca vaaaa ! ^-^ oui moi aussi je t'aime !

Je suis géniale, j'iame trop cette fiche ! ^-^ héhé !