Elle n’avait put résoudre Maëlstrom à ne pas venir chez elle, elle n’avait out qu’accepter même si revenir aux sources ne lui plaisez pas du tout. Elle avait prit la main de Maelström pour la conduire chez elle. Sur le chemin elle ne cessait de remuer le passé dans sa tête, de son enfance au meurtre de sa famille, a l’héritage et aux papillons…
Ils arrivèrent enfin dans un petit chemin tortueux. Et malgré le jour naissant, le chemin restait sombre, et une aura encore plus malsaine que celle de la jeune femme entourée le chemin… Bientôt ils croisèrent des centaines de papillons de toutes les couleurs, brumeux.. Des monarques en particulier… Ce n’est qu’après qu’il arrivèrent devant l’immense demeure lugubre de la belle.
Un sol où les herbes était immense, mal entretenu, le ciel était rouge, et la battisse était veille et risquer de s’écrouler, et pourtant, elle en imposé tout autant qu’un gratte-ciel. Devant la porte de bois une sonnette cassée et une plaque avaient été posées. La plaque devait être marquée d’un nom, un nom tellement rayée qu’impossible a savoir ce qui était écrit dessus, on pouvait a peine discerner un ‘C’, première lettre du nom de la jeune fille.
Elle continua et ouvra la porte d’un simple coup de poignet sur la poignée de la porte. Un immense couloir, grand, sombre, orné d’un tapi rouge au bordure de fils d’or… Ainsi commencer la demeure de la jeune femme, comme un film d’horreur, tout était allumé que par des petite torche, presque impossible a voir quoique ce soit.
Après un petit moment de marche dans la demeure si sinistre, couverte d’une aura morbide Miss Butterfly se tourna vers son interlocuteur, un sourire sadique au lèvres, mettant un poing sur sa hanche, l’autre main présentant le manoir, elle lança d’un ton presque arrogant.
« Voici la demeure de ma famille ! Il n’y a plus de famille à l’intérieur, mais ce n’est pas un problème ! Te voici donc chez moi ! »
Les papillons continuer de dansez autour de la maison et à l’intérieur, par milieu… Tandis que sur le sol de la pièce où ils étaient, le salon, était joncher d’un liquide pourpre et sec… Du sang…
« J’espère que ce petit home te plait… »